L’article 29 de l’avenant 16 de la convention orthophoniste, conditionne l’attribution du « forfait d’aide à la modernisation et informatisation du cabinet professionnel » (une prime de 490€ qui vous sera versée au plus tard en Avril de chaque année).
L’avenant précise que toutes les évolutions réglementaires diffusées au 31/12 de l’année N, doivent être appliquées au plus tard au 31/12 de l’année N+1.
En conséquence, un certain nombre de critères doit être respecté par le logiciel (nous éditeur d’Orthomax :-) et d’autres que vous, professionnels de santé,mettez en place afin de bénéficier de la prime.
- Etre doté d’une version du cahier des charges SESAM -Vitale intégrant les derniers avenants publiés sur le site du GIE SESAM-Vitale.
Concerne entre autre : TP généralisé ; Victimes d’attentat ; ADRi ; DMP ; …
La plupart des avenants publiés sont intégrés ou en passe de l’être et seront implémentés au cours de cette année (exemple : L’ADRi d’ici septembre, le DMP d’ici la fin de l’année).
- Utiliser la solution SCOR.
Orthomax.moov est compatible depuis 2014.
Si ce n’est pas déjà fait, pour procéder à son activation, un guide est disponible dans l'aide en ligne.
- Atteindre un taux de télétransmission en flux sécurisé supérieur ou égal à 70%.
Pour vous aider, Orthomax dispose dans ses outils de pilotage, d'un suivi de vos télétransmissions.
Rendez-vous dans le tableau de bord, onglet pilotage pour lancer le calcul.
- Disposer d’une adresse de Messagerie Sécurisée de Santé (MSS).
La messagerie sécurisée peut être créée sur le site Mailiz (ex-MS Santé).
Nous étudions actuellement les possibilités d’intégration dans le logiciel et vous aurez accès à une première évolution technique avec la version 10.18 de votre logiciel qui intégrera des API (outils de communication avec les lecteurs) identiques à celles utilisées par les messageries sécurisées.
Nous reviendrons vers vous à la rentrée sur ce sujet.
- Avoir un logiciel métier certifié par la HAS.
La certification HAS concerne exclusivement les logiciels permettant la prescription médicamenteuse, ce qui ne fait pas partis des prérogatives des orthophonistes et n’a donc pas été développé pour Orthomax.
Nous avons contacté la HAS et la CNAM qui nous ont confirmé cet état de fait.